Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les caprices danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait ancestral répété sempiternellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne91110.shotblogs.com/la-matière-qui-répond-48152937