Au lever quotidiens, la lumière traversait l’air sec en fines particules dorées, soulignant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait régulier devant le téléphone satellitaire, encore activé, notamment suspendu à une onde plus ancienne que la voix humaine. Les derniers signaux entendus la veille https://andrelnlhc.theblogfairy.com/33176118/le-sable-et-les-taux-vibratoires