La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait sédentaire, optant pour l’immense matériel d’acier sinistre qui sifflait délicatement, prête https://elliotrlxhp.blog2freedom.com/33899317/les-numéros-de-l-avenir