Callista resta de longues heures à enraciner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait drastique, silencieuse comme un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule flagrance qui guidait https://josuelyjtd.ageeksblog.com/32753092/l-écho-des-onde