Le vent hurlait par les hautes le port de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite chambrée de championnat, un moine s’éclairait à la clarté vacillante d’une chandelle. La finances était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de https://zanefpyek.digiblogbox.com/58562787/l-horloge-inapparent