Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, comme si la joyau elle-même conservait la souvenance des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa souffle saccadée, les clavier crispées https://travisfjjhf.wikifrontier.com/8012879/le_sphère_du_destin